Le contraste est à la base de la réalisation de l’image mais surtout de sa perception. Le contraste est physiologique ou pathologique, naturel, artificiel ou virtuel. Il peut être modulé ou adapté à sa perception. Il est indifféremment liquidien, tissulaire, vasculaire, viscéral… Cet opus des Annales du CEPUR réunit quelques unes de ces réflexions, présentées dans le cadre des Treizièmes Journées d’Imagerie Clinique de Vittel.